-
Le bonnet Calvin – Alice Hammer
Bonjour à tous !
J’espère que vous allez bien et que vous passez une belle semaine !
Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui pour un nouvel article tricot. La semaine passée, je vous faisais découvrir le gilet Source des fées, issu de la dernière collaboration entre Alice Hammer et Fonty. Je vous annonçais avoir testé un autre modèle de cette collection et c’est ce dernier que je vous présente aujourd’hui : le bonnet Calvin.
Ce joli bonnet au jacquard se tricote en circulaire, du bas vers le haut. Disponible en trois tailles pour s’adapter à différents tours de tête, il commence par une belle hauteur de côtes puis enchaîne trois bandes de jacquard avec un joli motif fleuri avant de terminer par une série de diminutions pour finir le bonnet.
Le motif fleuri fait écho à un autre patron de la collection, le joli pull Sarah avec son yoke très printanier : je n’ai pas eu l’occasion de le tricoter pour le moment, mais il me fait très envie !
Pour réaliser ce bonnet, vous pouvez bien entendu utiliser le fil de votre choix. Le fil recommandé est cependant le Nimbus, de chez Fonty, que j’ai découvert pour ce test (décidément, je commence à devenir une pro des différentes gammes de chez Fonty !). Le Nimbus est un fil ultra moelleux constitué de laine 100 % mérinos issue de deux espèces différentes. Cette gamme se distingue par son bel effet chiné qui apporte de la dimension aux coloris, ainsi que par sa douceur. C’est un fil que je trouve excellent pour du jacquard, car grâce les couleurs se fondent bien ensemble.
Le bonnet Calvin est un projet que je trouve très adapté pour se lancer dans le travail des couleurs et le jacquard : alors oui, on a quatre couleurs à manipuler, mais comme on ne tricote pas plus de deux couleurs à la fois, ça reste très gérable. Les motifs sont en plus assez simples à réaliser, donc avec des marqueurs de mailles, on s’y retrouve sans trop de problème.
Pour mon bonnet, j’ai tricoté la taille 3 pour mon conjoint (j’ai aussi tricoté un second bonnet en taille 2 pour un de mes cadeaux de Noël). J’ai choisi les coloris suivants :
- 0701 comme couleur principale.
- 0702, 0716, 0718 en couleurs contrastantes.
J’ai vraiment adoré tricoter ce bonnet : j’adore, vous le savez, le jacquard, donc rien que ça, j’étais ravie. Le patron est très simple à suivre, le bonnet se tricote très vite. Je me répète, je trouve ce projet vraiment très bien pour commencer le jacquard. En plus en circulaire, on ne fait que de l’endroit (sauf pour les côtes). C’est rare que je tricote deux fois le même projet d’affilée, mais j’ai tellement aimé ce bonnet que je n’ai pas résisté à le voir une seconde fois !
En tout cas, j’espère vous avoir donné envie de découvrir ce très beau modèle, parfait pour offrir et à décliner dans plein de coloris ! On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant prenez soin de vous !
La Tricomtoise
-
La Source des Fées, une veste Alice Hammer.
Bonjour à tous !
Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui sur le blog, pour un article que j’avais hâte d’écrire. Au cours des derniers mois, j’ai pu participer à deux nouveaux tests pour une de mes designeuses préférées, Alice Hammer. Ils font partie d’une toute nouvelle collection de sept nouveaux modèles sortis en collaboration avec les filatures Fonty. Ces différents modèles, pour tous les niveaux et les goûts, sont mis en valeur par les multiples gammes des filatures. Je vous présenterai prochainement le second test mais commençons d’abord par le premier auquel j’ai participé, celui de la veste Source des Fées.
Gilet très versatile qui s’accorde avec tous les styles, la Source des Fées combine des motifs géométriques et des finitions élégantes grâce aux bordures dents de chat sur les poignets, le bas, le col et les devants.
Le fil recommandé pour ce projet (et celui que j’ai utilisé) est le Tartan 3 de chez Fonty, un très beau fil cardé. 100% laine, ce fil est très lumineux et agréable à porter, avec un beau rendu au niveau de la couleur grâce à son effet un peu « tweed ».
J’ai réalisé ce gilet pour ma maman, car lorsque je l’ai vu, j’ai tout de suite su qu’il lui plairait. J’ai choisi le coloris 2007, un très beau vieux rose qui se marie à beaucoup de choses dans sa garde-robe. C’est elle qui prend la pose sur les photos de cet article pour le mettre en valeur et je trouve qu’il lui va très bien ! J’ai adoré tricoter pour ma maman.
J’ai tricoté la taille XL pour elle, et j’ai utilisé environ 12 pelotes.
C’est avec ce gilet que j’ai découvert le fil Tartan 3 : je l’ai tellement aimé, tant à tricoter que pour son rendu, que j’ai ensuite décidé de me faire un gilet avec, le fameux Margaret Beaufort d’Alice Starmore que je vous ai présenté dans un précédent article.
Ce que je préfère dans ce gilet : sa construction, très différente de ce que j’ai pu tester jusqu’à présent. On commence par des pattes d’épaule qui apportent de la structure au gilet. C’est à partir de ces pattes, en relevant des mailles, qu’on tricote le dos et les devants. On tricote ensuite les manches, et enfin on relève des mailles pour la bande de boutonnage. Ce gilet s’adresse selon moi à des tricoteurs qui maîtrisent non seulement les bases mais qui sont aussi à l’aise avec les grilles. Il ne faut pas avoir peur d’un peu de challenge ! Mais le résultat en vaut la peine.
J’espère en tout cas vous avoir donné envie de découvrir cette nouvelle collection Alice Hammer x Fonty et ses différents modèles. Je vous retrouve la semaine prochaine pour découvrir le second projet de cette collection que j’ai pu testé, en attendant n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire !
On se retrouve très vite, prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise
-
Quand le tricot s’invite chez les sorciers #6 : La cape Beauxbâtons.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui sur le blog pour un nouvel article tricot, le sixième de ma série de posts autour de l’univers d’Harry Potter. Après les mitaines Dueling Class présentées en mars dernier, j’ai ressorti le livre de patrons Harry Potter (le premier : j’ai vu qu’un second volume était sorti récemment) et j’ai décidé de me lancer dans un nouveau tricot qui me faisait envie depuis longtemps, à savoir la cape Beauxbâtons.
Cette cape me faisait de l’œil depuis que j’ai le livre – j’avais même tenté de la réaliser une première fois, mais j’avais abandonné car le fil que j’avais choisi ne convenait pas pour ce projet. C’est lorsqu’une de mes amies m’a demandé de lui tricoter cette cape que j’ai décidé de m’y remettre. Et je la tricote non pas une, mais deux fois !
En effet, comme j’ai souvent pu le dire dans les articles de cette série, ce livre de tricot contient souvent des erreurs. Ce qui est assez frustrant, surtout pour des personnes débutant le tricot et qui n’ont peut-être pas encore assez de connaissances ou d’expérience pour se rendre compte qu’il y a des problèmes. Donc, comme je voulais être sûre de ne pas tricoter une cape avec des erreurs pour mon amie, j’ai décidé de me tricoter un premier exemplaire afin de maîtriser le patron !
Pour ma première réalisation, j’ai choisi un fil proche de celui recommandé, que j’ai déniché comme quasiment toujours à la Mercerie Mimosa à Dijon. Il s’agit de la Baby Silk Fluffy de chez Kremke (ma première expérience avec ce fil), en coloris Baby Blue. J’ai tricoté la taille XL et j’ai utilisé environ 2,3 pelotes. J’utilise pour la seconde cape ce même fil, en Baby Blue pour le corps et en Jeans pour le col et les triangles décoratifs.
Cette cape est plutôt facile à tricoter – j’ai vu plusieurs avis, notamment sur Ravelry, mentionner le fait qu’elle était accessible aux débutants. Je suis d’accord: si vous avez déjà appris les bases du tricot et que vous avez envie d’un projet sympa à tricoter mais avec quelques technicités, cette cape est faite pour vous.
On commence par un montage provisoire au crochet (première petite technicité) avant de réaliser le corps en jersey. La cape prend progressivement de l’amplitude grâce à des rangs d’augmentations. Les finitions des bordures sont soignées grâce à un rabattage en i-cord (seconde technicité), puis on récupère les mailles du rang de montage pour s’attaquer au col et aux triangles décoratifs. L’i-cord est une technique que j’adore et qui permet d’avoir de beaux bords bien nets. C’est clairement l’une de mes astuces préférées pour avoir un tricot un peu « next level ».
Dans l’ensemble, j’ai beaucoup aimé ce projet. Déjà, j’ai adoré tricoter avec la Baby Silk Fluffy : c’est un fil très doux avec de belles nuances (je trouve que la Baby Blue a un léger effet argenté). Après le blocage, le rendu est encore plus soyeux! Elle a un beau tombé, parfait pour une cape de ce genre. Moi qui pourtant n’aime pas trop les laines fluffy habituellement, j’ai été séduite. Je suis en train de tricoter la seconde cape et je me régale toujours autant. Elle fonctionne très bien en fil unique, mais je me vois bien l’utiliser avec un autre fil pour ajouter du moelleux à un pull ou gilet.
La simplicité du patron est vraiment agréable aussi, ça se tricote sans trop réfléchir. Si vous avez besoin d’un projet pour regarder un film ou une série sans trop avoir besoin de vous concentrer sur votre tricot, c’est parfait ! Mais les petites technicités apportent quand même la touche complexe qu’il faut pour ne pas s’ennuyer. Je me répète, mais les finitions en i-cord et le col aident vraiment à obtenir un rendu de qualité.
En revanche, je me dois de râler encore sur les erreurs dans ce patron. Décidément, depuis que j’ai commencé à tricoter des modèles de ce livre, je n’ai pas encore trouvé un patron sans erreur… Ici, on en a une grosse : le rang de rabattage du corps est erroné (il est indiqué de rabattre à l’endroit – l’erratum Ravelry, que j’ai heureusement vu avant, nous informe de rabattre en réalité en i-cord : ce qui est logique, sinon on se retrouve avec un tricot qui roule); les explications des bordures des devants ne sont pas très claires (pareil : c’est de l’i-cord), tout comme les indications pour le col. C’est le gros défaut de ce livre et la raison pour laquelle je ne me prendrai probablement pas le second volume.
Mais malgré ce gros défaut, je suis très satisfaite de ma cape. Elle est très agréable à porter, légère tout en tenant bien chaud, et la couleur est sublime. J’ai déjà hâte d’offrir la seconde cape à mon amie pour voir sa réaction !
Je ne sais pas quand je m’attaquerai à un prochain tricot Harry Potter, mais si vous avez un patron du livre que vous tenez particulièrement à voir ici, n’hésitez pas à me laisser un commentaire !
On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise
-
Couture : Je réalise ma première robe !
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article. Au menu aujourd’hui : un peu de couture ! Vous le savez si vous suivez mes articles, je me suis récemment mise à la couture. Et grâce aux cours collectifs proposés par la Mercerie Mimosa de Dijon, je suis sûre que je vais apprendre beaucoup de nouvelles compétences. Après avoir réalisé un sac de voyage, deux jupes et quelques autres projets, j’ai eu envie de me lancer dans un projet ambitieux : une robe.
Mes amies couturières me font rêver depuis longtemps avec leurs robes et, pour quelqu’un qui ne porte quasiment que ça, la robe est vraiment un vêtement que je voulais apprendre à réaliser. J’ai décidé de sauter le pas en préparant un événement assez particulier, l’anniversaire de ma mamie. Nous lui avons offert un week-end à Versailles pour découvrir le château et le domaine; pour l’occasion, je voulais me faire une jolie robe.
Pour ce projet, j’ai décidé d’utiliser l’un des modèles du livre 200 robes à partir de 20 patrons, que j’ai reçu en cadeau pour mon anniversaire. Dans ce livre, on nous propose de réaliser des robes à partir de modèles différents et de les personnaliser grâce à différentes options de cols, manches, coupes de jupes… L’idée est plutôt sympa, même si je dois bien vous avouer que ce livre n’est pas forcément le plus simple à prendre en main pour une débutante, mais je reviendrai sur ce point un peu plus loin.
J’ai choisi en ce qui me concerne la base Aiko, avec une encolure ronde, sans manche, et une jupe évasée pour un côté rétro qui correspond bien à mon style. Le tissu vient du stock de ma belle-mère, un très joli coton imprimé vichy rose, et j’ai également récupéré la fermeture éclair pour le dos chez elle, ainsi que le ruban décoratif utilisé sur les poches.
Mon premier conseil avec ce livre, comme tout projet de couture, est de prendre le temps de vous mesurer : j’ai tendance à foncer tête baissée dans les projets, habituée à mes tailles au tricot, mais c’est une étape capitale à la réussite de votre projet. J’ai bien fait de le faire, car moi fais habituellement une taille 44, je me suis retrouvée à travailler ici avec une taille 50. Le livre, en terme de tailles, annonce aller jusqu’au 54, mais attention ! Les tailles du livre peuvent ne pas correspondre à ce que vous imaginez ou portez.
Découper le tissu n’est pas encore mon fort, j’ai du mal à faire de belles découpes bien droites, mais ça viendra ! Pour la construction, on commence par le haut, l’occasion pour moi d’apprendre à réaliser des pinces. Grâce à quelques vidéos Youtube, j’ai pu m’en sortir du premier coup ! J’ai également appris, grâce à Cathy, à poser une parmenture proprement, et à faire de belles finitions au biais pour un haut sans manches.
Pour la jupe, j’ai décidé de l’allonger par rapport au patron, car je voulais un rendu plus champêtre. J’ai aussi ajouté des poches, ma passion ! J’avoue que j’ai fait une erreur sur l’orientation des plis devant, sans m’en rendre compte et une fois cousue je n’ai pas eu la motivation de tout refaire. La pose de la fermeture éclair me stressait beaucoup : finalement, le résultat était bien meilleur que ce que j’imaginais !
Globalement, les instructions du livre se suivent assez bien, mais elles manquent de détails et d’explications, surtout pour des débutants. Heureusement que j’ai pu compter sur l’aide de Cathy, mais aussi de mon amie Sophie, et sur Youtube !
Dans l’ensemble, je suis très contente du résultat : certes, la robe n’est pas parfaite, je n’ai pas fait de raccords sur l’imprimé et il y a des défauts, mais elle est tout à fait portable et honnêtement pas mal du tout pour une première robe ! J’étais très fière de la porter à Versailles.
Je travaille actuellement sur une seconde robe, que j’ai hâte de vous montrer, un peu dans le même style. En attendant, je vous dis à très vite ! 🙂
La Tricomtoise
-
Le Bazar #3.
Bonjour, tout le monde !
Soyez les bienvenus sur la Tricomtoise pour un nouvel article Bazar ! Vous le savez si vous avez l’habitude de suivre le blog, dans ces articles je vous présente divers petits projets réalisés en tricot, crochet, couture ou autres loisirs créatifs, pour lesquels un post plus long ne serait pas forcément pertinent. Pour ce nouveau numéro, pas mal de couture, mais pas que ! C’est parti 🙂
1 – Le débardeur de pyjama.
Depuis que j’ai commencé la couture il y a quelques mois, un de mes objectifs est de finir au maximum mes chutes de tissus, histoire de ne pas accumuler trop de stock (je fais la même chose en tricot : je n’ai pas de « stash ») et de ne pas avoir de gâchis. Donc, quand j’ai vu qu’il me restait pas mal de double-gaze menthe après avoir réalisé des doudous avec, j’ai immédiatement eu l’idée de m’en servir pour faire un haut de pyjama. La double-gaze étant très légère, ça me semblait être parfait pour les nuits chaudes de cet été!
Je n’ai suivi aucun patron pour ce projet, j’ai honnêtement fait au feeling, en découpant la forme générale d’un débardeur court (comme un crop top). J’ai cousu l’ensemble avant de faire des pinces devant pour le décolleté et j’ai ajouté des bretelles. C’était un projet très rapide à faire et qui est loin d’être parfait, notamment pour les bretelles qu’il faudra que je reprenne, mais j’en suis satisfaite pour son utilité.
2 – Les pochons de lavande.
Couture toujours, voici un autre projet rapide et que j’ai beaucoup aimé faire : des pochons de lavande. J’ai toujours grandi avec des pochons de lavande dans les placards et j’adore l’odeur de cette fleur. Ma belle-mère m’ayant offert un gros sachet de lavande récemment, j’ai décidé d’utiliser une nouvelle fois des chutes pour réaliser quelques pochons. Il s’agit du reste de la doublure de mon sac Georges, j’en ai eu assez pour faire trois sachets de tailles différentes. Pour ces sachets, rien de sorcier : j’ai cousu les coulisses puis j’ai ajouté un ruban décoratif récupéré chez ma belle-mère aussi (rien ne se perd!) au milieu de mon tissu avant de coudre les côtés. Rien de bien compliqué et il me reste encore pas mal de lavande pour réaliser d’autres sacs, à offrir cette fois !
3 – Les petites pochettes pour sacs à main.
Dernier projet couture de ce Bazar, des pochettes pour sacs à main. Encore une fois, j’avais pas mal de restes de mon sac Georges, notamment encore un peu de jacquard et du simili cuir rose. J’ai aussi un petit stock de fermetures éclairs, elles aussi récupérées chez ma belle-mère, et je me suis donc lancée dans la confection de trois petites pochettes. J’ai honnêtement eu un mal fou à travailler avec le simili cuir, qui décidément n’est pas mon ami, et j’ai eu du mal avec les fermetures éclair. Il faut vraiment que je travaille là dessus ! Mais les pochettes sont fonctionnelles; j’en ai gardé une pour moi et j’ai offert les deux autres.
4 – Un snood au crochet.
Passons à présent au crochet, avec un projet un peu particulier. J’ai récemment faitun petit colis surprise à une amie qui aime beaucoup passer du temps en forêt. Avec l’automne qui approchait, je voulais lui préparer un cadeau parfait pour ses ballades forestières : un snood au crochet. J’ai choisi du vert et du jaune, car je voulais des couleurs qui évoquent le soleil qui passe à travers les feuilles des arbres et parce que j’aime la symbolique de ces couleurs. Avec le vert, j’ai réalisé le corps du snood dans un point panier: j’apprécie particulièrement la texture de ce point. Avec le jaune, j’ai réalisé une bordure d’un côté, afin d’élargir le snood et d’ajouter un peu de couleurs. Le résultat est vraiment très chouette !
5 – Une écharpe feuille multicolore.
Terminons ce troisième numéro du Bazar avec un peu de tricot et encore un cadeau. J’ai récemment réalisé pour un anniversaire une écharpe feuille pour une fana de couleurs. Je vous ai déjà parlé plus d’une fois des écharpes feuilles, mais j’adore les réaliser: elles sont rapides à tricoter et peuvent facilement s’adapter à toutes les envies de couleurs, points, tailles… Pour celle-ci, j’ai utilisé une pelote de laine à chaussettes autorayantes, car on obtient un résultat très coloré tout en étant léger et doux à porter. Je suis restée sur un point mousse tout simple car je voulais que le focus soit sur les couleurs, très vives. Une écharpe pleine de peps!
Et voilà, j’espère que ce nouveau Bazar vous a plu ! On se retrouve la semaine prochaine avec un article que j’attends de vous faire depuis un moment, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise
-
Le pull Gogink – Marie Amélie Designs
Bonjour à tous,
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un tout nouvel article ! Aujourd’hui, je reviens enfin avec un article tricot un peu plus costaud, après plusieurs semaines à vous parler d’autres choses ou de projets plus petits.
Il faut dire qu’après avoir terminé mon gilet Hearten en mai, j’ai un mal fou à tricoter de grosses pièces. J’ai bien commencé le Margaret Beaufort de mon idole Alice Starmore, mais à part le dos, je n’ai pas avancé dessus depuis des semaines.
Je me suis rendue à l’évidence : j’étais en plein « burnout » tricot, ma concentration n’est plus au rendez-vous. J’ai un mal fou à travailler sur des projets qui demandent des motifs ou qui sont un peu trop techniques. Il me fallait donc des tricots plus rapides à réaliser, je me suis aussi beaucoup plongée dans le crochet et la couture, histoire de ne pas abandonner les loisirs créatifs, puis j’ai repris mes aiguilles pour un gros projet, que je savais cependant assez facile à réaliser.
Il s’agit du pull Gogink, un design de Marie Amélie Designs, acheté en kit chez Bouclelaine. J’avais adoré tricoté le Lustucru d’Alice Hammer avec du fil Bouclelaine, et j’ai donc eu envie de tester une autre de leurs gammes. Le kit du pull était proposé notamment avec la Mérinos-Angora SPORT (90% mérinos, 10% angora), alors j’ai sauté sur l’occasion. C’était en plus l’occasion pour moi de tester pour la première fois un patron de chez Marie Amélie Designs, que je ne connaissais pas encore.
La construction de ce pull est simple à comprendre. Les instructions sont d’ailleurs toutes très claires, ce que j’ai particulièrement apprécié. C’est un top down en circulaire, avec un très bel empiècement qui a un effet art déco (selon moi). Après l’empiècement, on met les manches en attente et on tricote le corps. On reprend ensuite les mailles en attente pour réaliser les manches, qui ont un joli effet bouffant.
J’ai choisi ce modèle car je trouvais le motif de l’empiècement très beau, et je ne suis pas déçue. Je trouve d’ailleurs que cet empiècement est un bon moyen de se lancer dans le jacquard car le motif est assez simple à suivre, et ne nécessite que deux couleurs. Je crois que c’est le premier jacquard que je réussis aussi bien et sans accroc !
Le pull comporte aussi énormément de jersey tout droit, donc c’est aussi parfait pour faire un tricot tranquille ! C’est vraiment un projet parfait si vous maitrisez les bases du tricot et que vous avez envie de vous lancer dans quelque chose d’un peu plus ambitieux.
J’ai tout de même réalisé quelques modifications par rapport au patron : j’ai raccourci le corps de 3cm et j’ai allongé les côtés de 7 à 10cm. Pour les manches, ayant de petits bras, j’ai là aussi raccourci l’ensemble. J’ai également ajouté Pollen dans les côtes afin de faire un rappel.
Globalement, je suis très contente de ce projet. Le résultat est à la hauteur de mes attentes et terminer un pull après plusieurs mois à galérer, ça fait plaisir. Mon bémol est que le pull est un peu trop ample à mon goût (je préfère les hauts plus près du corps, comme les coupes rétro), mais ça ne m’empêchera pas de le porter trèèès souvent cet automne et cet hiver !
En tout cas, j’espère vous avoir donné envie de tester ce beau pull !
Je vous retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise
-
Couture : je réalise mes premiers vêtements !
Bonjour à tous !
Je suis ravie de vous retrouver sur le blog pour un tout nouvel article. Avant d’entrer dans le vif du sujet du jour, je tenais à vous avertir que le concours spécial Un an du blog a démarré sur mon compte Instagram (@latricomtoise). N’hésitez pas à vous inscrire pour gagner l’un des deux lots disponibles, le concours est ouvert jusqu’au 15 août 2022.
Vous le savez peut-être si vous suivez mon blog, j’apprends actuellement la couture. Je suis loin d’être une pro, mais je trouve beaucoup de plaisir dans cette activité. Pour l’instant, j’ai réalisé un bavoir, un tote-bag, et un lot de lingettes réutilisables. Motivée par mes premiers essais et par des amies couturières, j’ai décidé de me lancer dans la couture de mes premiers vêtements, à savoir deux jupes élastiquées.
Dans ma garde-robe, je ne manque pas de robes, mais je suis un peu moins bien lotie en ce qui concerne les jupes. Il me semblait donc logique d’essayer de commencer par des jupes, non seulement car ça me paraissait plus facilement réalisable que des robes ou un chemisier, et aussi parce que ça me permettait de combler utilement un manque vestimentaire.
Sur les conseils de Cathy de la Mercerie Mimosa, c’est vers la jupe élastiquée que je me suis tournée. Les deux jupes que je vous présente aujourd’hui sont basées sur un patron de L’atelier des gourdes, pour info !
La première jupe, ou comment je n’ai pas été très fûtée.
Pour ma première jupe, j’ai utilisé : un élastique argenté trouvée chez Mercerie Mimosa et du tissu vichy bleu qui vient du stock de ma belle-mère, qui coud aussi.
On ne va pas se mentir, j’en ai vraiment bavé avec cette jupe. Les premières étapes se sont bien passées : la découpe du tissu, la couture des pièces, le surfilage au point zig-zag… Tout se déroulait sans accroc et j’avais même l’impression de m’en sortir comme une pro ! Il faut dire qu’avec le vichy, je me suis sentie aidée, les carreaux sont de très bons guides pour couper et coudre.
Ce n’est que lorsqu’il a fallu poser l’élastique que les choses se sont corsées : déjà, j’étais restée sur du fil bleu marine, utilisé pour coudre mes pièces de tissu entre elles. Le fil bleu marine ressortait donc sur l’argenté de l’élastique, ce qui n’était pas forcément dérangeant, sauf que ma couture n’était pas, mais alors pas droite du tout. Et encore moins régulière ! Le rendu était loin d’être beau.
Mon deuxième problème : j’avais un mal fou à coudre mon élastique sur le tube que formait ma jupe. Je trouvais le tissu difficile à manier de façon à ce qu’il reste droit.
Et alors, le truc qui a fini de m’achever: j’avais beau recommencer encore et encore (cinq fois en tout), en tirant de toutes mes forces sur l’élastique, il me restait toujours beaucoup, beaucoup trop de tissu par rapport à mon élastique.
Finalement, après un temps fou à m’acharner, j’ai décidé de tout mettre de côté et d’envoyer une vidéo (larmoyante, je vous l’accorde) à une de mes amies couturières (Sophie, si tu passes par là, tu as sauvé cette jupe) pour lui demander conseil et j’ai bien fait car elle a tout de suite vu que j’avais beaucoup trop de tissu. Un fait que, dans ma quête d’avoir beaucoup de volume, je n’avais pas vraiment réalisé.
Sur ces conseils, j’ai donc défait mes coutures, aligné élastique et tissu, tiré tiré tiréééé sur mon élastique pour voir ce qu’il pouvait supporter comme tissu, et ensuite j’ai coupé l’excédent. J’ai tout recousu, j’ai changé mon fil bleu marine pour du blanc et j’ai posé l’élastique, ravie de voir que le fil ne se voyait pas du tout ainsi.
Au final, je suis très contente de la jupe obtenue, qui m’a permis d’apprendre plein de choses, et surtout à ne pas m’emballer sur la quantité de tissu…
La seconde jupe, cette fois c’était la bonne !
Forte de ma première expérience et pour voir si j’avais bien appris de mes erreurs, je me suis lancée dans une seconde jupe. Le tissu, un super coton imprimé fraises de chez Dashwood Studio, vient comme l’élastique rose gold de la Mercerie Mimosa.
Cette seconde réalisation a été bien plus simple à faire et j’en suis ravie ! J’ai commencé par mesurer la bonne quantité de tissu nécessaire, et eu envie de me challenger en ajoutant une petite poche plaquée qui, si elle n’est pas la perfection incarnée, est fonctionnelle et a eu le mérite de m’apprendre les bases de l’ajout d’une poche.
Ensuite, j’ai ajouté l’élastique pendant que mon tissu était encore une bande et pas un tube: ça m’a grandement facilité la tâche. J’ai pu plus aisément tenir l’élastique et tirer dessus pendant que je le cousais sur le tissu. Cette technique m’a aussi permis de mettre l’élastique du premier coup, ce dont je n’étais pas peu fière ! Il ne me restait plus qu’à coudre les côtés et voilà !
Ces deux premières expériences ont été pour moi l’occasion d’apprendre plusieurs choses très utiles. Déjà, des techniques pour poser des élastiques, prendre des mesures, faire des ourlets, faire une poche… Mais aussi, je me rends compte que comme pour le tricot, plus on pratique, plus on maîtrise. Et même si mes jupes ne sont pas parfaites, j’en suis très fière !
J’ai hâte de poursuivre mes aventures en couture et j’espère que vous continuerez à les suivre ! On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous ! 🙂
La Tricomtoise
-
Je me mets aux tops d’été : le débardeur Spiced Breeze de chez Drops.
Bonjour à tous,
C’est avec plaisir que je vous retrouve aujourd’hui pour un nouvel article, le 50ème du blog (et oui, déjà !). Nous approchons doucement mais sûrement de l’anniversaire du blog : je vous annonce d’avance que j’ai prévu pour l’occasion un concours que je vous partagerai sur mon compte Instagram et dont je vous préviendrai aussi ici !
En attendant, je vous propose de nous pencher aujourd’hui sur mon dernier projet fini en date. Depuis le Hearten, j’ai comme un burn-out : j’ai du mal à me concentrer sur des projets longs et je n’arrive pas à me motiver pour travailler dessus. J’ai par exemple commencé il y a plusieurs semaines un projet pourtant assez facile, le Margaret Beaufort d’Alice Starmore, sauf que ce projet est long à réaliser et mon cerveau n’en peut plus.
Il me faut donc des projets rapides et faciles à réaliser, et c’est en cherchant des idées que je me suis dit que c’était l’occasion de me lancer dans des tricots d’été. En effet, ma garde-robe tricot est largement constituée de pulls, gilets et hauts chauds, par contre je n’ai quasiment aucun débardeur ou t-shirt.
J’ai profité d’une vente éphémère Eline & Laines à la Mercerie Mimosa pour acheter de quoi tricoter un haut : parmi les différents fils, j’ai craqué sur un fil d’été, le Natsu, dans deux coloris : Coquelicot et Mandarine, car ils me faisaient penser à des sorbets !
Pour le patron, j’étais partie sur un modèle de t-shirt mais après quelques heures, j’ai réalisé qu’il était beaucoup, beaucoup trop large malgré le fait que j’avais choisi une taille en dessous de ce que je tricote habituellement. J’ai fini par me rabattre sur un modèle gratuit de chez DROPS Design, le débardeur Spiced Breeze.
J’ai utilisé des aiguilles circulaires n°5 pour l’ensemble, même pour les côtés, car je ne voulais pas qu’elles soient trop serrées.J’ai alterné entre Coquelicot et Mandarine tous les quatre ans afin d’obtenir de jolies rayures.
La réalisation est plutôt simple, ce qui en fait un projet facile à réaliser pour des débutants souhaitant tricoter leur premier vêtement. Le corps est tricoté en circulaire, d’abord avec des côtes bien en jersey endroit, jusqu’à atteindre l’emmanchure. Dans mon cas, j’ai rallongé le corps par rapport à la longueur préconisée de deux centimètres pour obtenir quelque chose d’un peu plus long. On sépare ensuite le travail pour tricoter le devant, puis le dos avant de joindre les bretelles.
J’ai été très impressionnée par la facilité avec laquelle j’ai pu tricoter ce haut, qui ne m’a pris que quelques heures. Le résultat est vraiment top, le rendu du fil est très léger et agréable à porter. Je suis sincèrement très, très satisfaite du résultat !
J’ai du coup prévu de me tricoter d’autres hauts dans ce genre pour les mois chauds. Si vous avez des recommandations, n’hésitez pas car je suis preneuse !
On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise
-
Le Subtile, mon nouveau pull chouchou.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour découvrir ensemble un patron qui sortira le 1er avril et que j’ai récemment pu tester !
Vous le savez si vous suivez mon blog depuis ses débuts, je suis fan du travail d’Adalaria, dont j’ai découvert le travail il y a un an et demi. J’ai depuis tricoté plusieurs de ses designs et je me suis lancée dans le challenge #12moisdansmesgrolles (je vais bientôt m’attaquer à la paire de mars, je suis un peu en retard!). Et je suis tout aussi fan des fils 1 ou 2 mailles qui sont un vrai plaisir à utiliser: pour avoir testé plusieurs fils (Délicate, Yakérino, Scandaleuse entre autres), je n’ai eu que des coups de cœur.
Alors lorsque j’ai vu cet appel au test pour le pull Subtile, j’ai immédiatement craqué ! Et comme le patron sera disponible officiellement dans quelques jours, j’espère vous motiver à le réaliser aussi avec cet article.
Le pull Subtile est un modèle qui lie parfaitement simplicité et élégance, grâce à son très beau motif ajouré, qui a la particularité de pouvoir se tricoter sur le devant ou sur le dos (ou, pour les plus motivé(e)s, des deux côtés). Il se tricote en top down, en circulaire, tout en jersey endroit avec des côtes torses (ce que je préfère, je trouve le rendu beaucoup plus beau que des côtes classiques). Le patron vous propose aussi deux versions : une avec cintrage et une sans. En ce qui me concerne, j’ai choisi de suivre les instructions avec cintrage! L’empiècement n’a pas été simple pour moi, mais j’ai toujours du mal avec les motifs ajourés, mais à part ça ce pull est plutôt facile à tricoter.
Pour la réalisation, j’ai utilisé le fil recommandé: la Scandaleuse, en teinte Bleu de Minuit, qui est absolument sublime. Un fil fin mais qui garde bien la chaleur, très doux à porter. Un vrai régal à tricoter en plus.
J’ai pu porter le pull plus d’une fois depuis que je l’ai fini, il est parfait pour la mi-saison, et je l’adore, aussi bien pour son motif que pour la couleur. J’ai tout bonnement passé un excellent moment à tricoter ce pull et je ne peux que vous encourager à vous lancer aussi !
J’espère en tout cas vous avoir donné envie de vous pencher sur ce patron à sa sortie, et je vous retrouve très vite pour un nouvel article ! En attendant, comme toujours, prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise
-
Le pull Lustucru d’Alice Hammer (ou mon premier test ! )
Bonjour à tous !
Je suis heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article !
Après plusieurs semaines sans vous avoir présenté de hauts, voilà que je vous écris deux articles d’affilée mettant en avant des pulls ! Mais aujourd’hui, c’est un article un peu différent que je vous propose, car en plus de vous présenter une réalisation, je vais également vous parler un peu de ma première expérience en temps que testeuse.
Voilà longtemps que je connais le principe des tests, que j’avais envie de me lancer, mais j’avais l’appréhension de ne pas être assez bonne tricoteuse. Au final, j’ai réalisé que 1) c’est en essayant qu’on apprend, 2) tous les tests ne sont pas pour des projets archi-compliqués, 3) il y avait très peu de chances pour que je tombe sur une communauté de testeurs/testeuses pas sympas.
En voyant passer un appel au test pour le pull Lustucru d’Alice Hammer, j’ai fini par craquer et m’inscrire. Le design de ce pull, avec ces carrés colorés, me parlait et il me paraissait relativement facile à réaliser pour un premier test. Le patron du pull est officiellement sorti et je vous invite à aller en découvrir davantage sur le site d’Alice ! Mais voici quelques informations sur ma réalisation.
- Fil utilisé : comme recommandé sur le patron, la gamme Roussin-Alpaga de chez Bouclelaine. Je suis restée sur le même coloris qu’Alice pour la couleur principale (Bistre naturel). Pour mes couleurs contrastantes, j’ai choisi Glycine, Pensée, Lichen, Eglantine et Guimauve. C’était la première fois que je travaillais avec de la Bouclelaine et j’ai beaucoup aimé ce fil rustique qui est très agréable à porter.
- Construction: Le corps se tricote de bas en haut, sur des aiguilles circulaires, en utilisant la fameuse méthode du « steek » que j’ai testé pour la première fois, puis on réalise les manches en montant des mailles le long des emmanchures, toujours en circulaire, avant de passer aux finitions.
- Techniques utilisées : le pull se tricote en utilisant plusieurs couleurs, en jacquard. C’est un jacquard plutôt facile, à la condition de ne pas serrer trop les fils sur l’arrière (sinon, ça gondole). Il est d’autant plus facile qu’en tricotant en circulaire, on ne tricote qu’à l’endroit. Le steek, c’est là que ça se corse: je connaissais cette technique pour l’avoir vue dans des vidéos de Fruity Knitting, mais je n’avais pas encore eu l’occasion de m’y coller. C’est assez terrifiant de devoir couper son tricot, il faut bien l’avouer ! Mais je suis plutôt satisfaite de ma première tentative !
Je suis honnêtement très contente du résultat obtenu avec ce pull. J’adore les couleurs de chez Bouclelaine, très lumineuse, et le design d’une manière générale est très joli. C’est un pull que je porte presque une fois par semaine depuis que je l’ai terminé tellement je l’apprécie.
Je suis aussi très fière d’avoir participé à ce premier test – d’autres ont suivi depuis, mais cette première expérience a été vraiment super pour moi. Pouvoir échanger sur des instructions, poser des questions, voir le progrès de tout le monde… J’ai adoré !
En tout cas je vous recommande vivement d’aller voir les nombreux designs d’Alice Hammer, une vraie mine pour les amoureux de tricot !
J’espère que ce petit article vous a plu, et qu’il vous aura donner envie de vous lancer dans ce Lustucru ! On se retrouve très vite pour un nouvel article, et en attendant prenez soin de vous !
La Tricomtoise
- Fil utilisé : comme recommandé sur le patron, la gamme Roussin-Alpaga de chez Bouclelaine. Je suis restée sur le même coloris qu’Alice pour la couleur principale (Bistre naturel). Pour mes couleurs contrastantes, j’ai choisi Glycine, Pensée, Lichen, Eglantine et Guimauve. C’était la première fois que je travaillais avec de la Bouclelaine et j’ai beaucoup aimé ce fil rustique qui est très agréable à porter.