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Je débute en tricot : quel matériel acheter ?
Bonjour, tout le monde !
Je suis ravie de vous retrouver sur le blog pour un tout nouvel article spécial débutant ! Voilà longtemps que je n’avais pas rédigé un post à destination des personnes qui se lancent dans le tricot, et celui-ci m’a été inspiré par une conversation que j’ai eue récemment avec une amie tricot qui m’expliquait qu’elle avait eu du mal à choisir ses outils lorsqu’elle avait commencé. Comme toute nouvelle activité, c’est parfois pas évident de savoir quoi acheter, d’autant plus qu’on peut vite se laisser déborder par tous les outils et accessoires de tricot. J’espère donc que cet article vous sera utile et je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
Dans cet article, je ne vous parlerai pas de fils ou de patrons, car tout dépendra de ce que vous allez avoir envie de tricoter. Pour le patron, Ravelry, YouTube et Instagram sont d’excellentes sources d’inspiration et pour le fil, je vous recommande d’aller, si vous en avez une près de chez vous, en mercerie pour demander conseil 🙂
Aiguilles :
Outils indispensables pour tricoter et premier achat à faire avec votre fil : les aiguilles.
Aujourd’hui, il existe un grand nombre de types d’aiguilles : droites, circulaires, en métal, bois, bambou… Il peut être assez difficile de s’y retrouver.
Ma recommandation est de partir sur des aiguilles circulaires dès que possible. Vous pourrez certainement récupérer des aiguilles droites chez votre mamie, ce qui est très bien, mais croyez-moi, pour avoir tricoté presque toute ma vie en aiguilles droites jusqu’à passer aux circulaires, je ne jure plus que par le circulaire.
Les avantages du circulaire sont nombreux : déjà, elles sont très souvent interchangeables, c’est à dire que vous pouvez soit changer la longueur de votre câble pour l’adapter à votre projet, soit la taille de vos aiguilles. Ensuite, le câble, même si vous tricoter en aller-retour, vous permet de mieux répartir le poids de votre projet, ce qui fatigue moins vos mains et vos doigts.
De plus, même si ça implique d’avoir plus de petites parties (plus d’aiguilles, plus de câbles…), je trouve que le rangement des aiguilles circulaires est plus pratique, ce qui les rend aussi plus faciles à transporter.
Pour le matériau, entre bambou, bois et métal, c’est vraiment en fonction de votre feeling, même si j’aurais tendance à vous conseiller de partir sur du bois ou du bambou pour commencer, car c’est un matériau un peu plus souple, ce qui est très bien pour les débutants qui ont tendance à vite se crisper sur leurs aiguilles. De plus, j’ai remarqué que mes mailles se sauvent moins sur du bambou que du métal qui glisse beaucoup.
Alors je vous rassure : pas la peine d’acheter tout de suite toutes les longueurs de câble ou tailles d’aiguilles. Choisissez ce dont vous avez besoin pour votre premier projet spécifiquement, en demandant conseil à votre mercerie ou vos ami(e)s tricoteurs et tricoteuses. Si le tricot vous plait et que vous continuez à en faire, votre kit s’étoffera progressivement avec le temps !
Anneaux marqueurs, compte-rangs et autres outils :
Parmi les nombreux accessoires tricot qui sont désormais disponibles, il n’est pas toujours évident de savoir vers quoi se tourner. Voici quelques recommandations d’objets utiles, qui font partie de mes essentiels tricots ou de ceux de beaucoup de tricoteurs :
- Des marqueurs : vraiment un indispensable, car ils permettent d’indiquer le début d’un rang, de délimiter un motif, de placer des augmentations… Vous pouvez en trouver facilement en merceries ou sur internet. Ma recommandation est d’en prendre un pack, voir deux, avec si possible des couleurs différentes pour vous permettre de plus facilement retenir à quoi ils correspondent. Alternativement, vous pouvez aussi utiliser des morceaux de fils noués pour marquer vos mailles, ce que je fais parfois mais pour débuter, je vous recommande quand même de prendre des marqueurs, plus visibles.
- Des arrête-mailles : très utile notamment quand vous tricoterez vos premiers pulls, les arrête-mailles permettent de mettre en attente un nombre de mailles le temps d’avancer dans autre chose. Tout comme les marqueurs, on en trouve assez facilement et de toutes les tailles. Je vous conseille d’en prendre au moins deux, voir si vous pouvez un petit lot avec quelques tailles variées.
- Les compte-rangs : personnellement, je n’ai jamais utilisé de compte-rangs, que ce soit les anneaux métalliques ou les versions bague/bracelet numériques. En effet, je suis un peu vieux jeu là-dessus, et je préfère me servir d’un papier et d’un stylo. Mais sachez que ce genre d’outils existent et qu’ils sont souvent recommandés !
Une trousse et un pochon :
Une fois que vous avez les éléments de base (votre fil et vos aiguilles), je vous recommande de trouver de quoi ranger votre tricot à part de vos autres affaires afin d’y consacrer un endroit dédié. Pas besoin d’être très fancy : un tote bag ou un pochon peuvent très largement suffire pour ranger votre projet en-cours quand vous ne vous en servez pas. Personnellement, j’utilise le même tote bag depuis des années pour mon en-cours du moment. Ce qui est plutôt pratique avec ce type de sacs et les pochons, c’est que vous en avez déjà certainement un qui traîne quelque part chez vous et dont vous pouvez vous servir, pas la peine de faire des frais.
Je vous conseille aussi de vous trouver une petite trousse pour y ranger vos outils : vos aiguilles, marqueurs à laine, mètre de couture, stylo… Tout comme le tote bag, ça peut être une trousse que vous avez déjà. On peut y stocker pas mal de choses, tout en possédant un autre avantage, qui est celui de pouvoir la trimballer facilement.
Il existe aussi beaucoup de marques aujourd’hui qui proposent des trousses complètes avec plein de tailles d’aiguilles et de la place pour les accessoires, mais ce type de kits est en général assez couteux. ça peut être un chouette cadeau à vous offrir ou à vous faire offrir quand vous aurez avancé dans votre passion !
Un carnet pour prendre des notes :
Ce dernier point est un peu accessoire mais je vous recommande de vous trouver un petit carnet pour prendre des notes lors de votre avancée tricot. Comme pour le pochon et la trousse, ça peut être un carnet que vous avez déjà (car je pense qu’on est nombreux et nombreuses à avoir moults cahiers dans nos tiroirs qui traînent et qu’on a jamais utilisés). Personnellement, je me sers du mien pour noter, pour chaque projet, le fil et coloris que j’utilise, le nombre de pelotes, mes modifications par rapport au patron, mais surtout pour compter mes rangs quand c’est utile, par exemple pour les augmentations et diminutions.
Sachez qu’il existe des carnets spécialement pour le tricot, mais vous pouvez très bien utiliser un carnet tout simple, ou même une application : il en existe beaucoup aujourd’hui, qui vous permettent de faire la même chose et bon nombre sont gratuites. A voir selon si vous, comme moi, vous êtes plus papier, ou plutôt téléphone pour prendre des notes !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que cet article vous aura aidé. Si vous êtes tricoteur ou tricoteuse, n’hésitez pas à laisser vos suggestions d’achats en commentaires ! Je vous retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise.
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Envies tricot 2024 – Mon bilan de mi-année.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article. La moitié de l’année s’est écoulée, déjà, alors j’ai eu envie de faire un petit point sur mes envies tricot 2024, présentées dans un article il y a quelques mois. L’idée est de voir si ces envies se sont concrétisées et si j’ai pu avancer dessus au cours de ce début 2024. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
1 – Faire plus de jacquard.
Première envie de la liste : faire plus de jacquard. C’est vraiment une technique que j’adore mais il est vrai que j’en faisais au final assez peu. Et je pense que j’ai relevé le défi au la main, puisque depuis le début de l’année, je me suis beaucoup amusée avec le jacquard.
Tout d’abord, en réalisant deux pulls hivernaux : le Nocturnal Jumper et le Lisboa Sweater (j’avais eu la chance de faire ce dernier pour un test). Je vous ai parlé de ces deux pulls sur le blog, donc si vous suivez mes posts, vous savez que je les adore. J’ai pu découvrir la Alpakka Ull de Sandnes Garn, dont je suis tombée amoureuse et que j’ai énormément aimé travailler sur ces projets.
Je suis aussi sortie de ma zone de confort, avec du jacquard chaussettes, sur un projet que je vous présenterai prochainement car il n’est pas tout à fait fini. Mais aussi et surtout en me lançant dans le jacquard en crochet, une grande nouveauté 2024 pour moi. Je vous ai parlé du fanion tête de mort pour mon père et du Cat Lady Bag récemment, deux bons exemples.
Bref, vous l’aurez compris, je m’éclate avec le jacquard et je compte bien continuer comme ça !
2 – Avancer dans Tudor Roses.
Un de mes « goals » tricot à long terme est de réaliser tous les patrons du livre Tudor Roses d’Alice Starmore, un projet qui dure depuis déjà quelques années et qui va s’étendre encore dans le temps, car il s’agit mine de rien de patrons assez complexes.
J’ai un peu avancé sur ce projet, puisque j’ai terminé, non sans mal, mon Elizabeth I après des mois de galère. Je suis bien contente de l’avoir fini et d’être passée à autre chose. Dans mon article précédent, je parlais de faire un autre design, possiblement le Anne of Cleves, cette année. J’aimerais bien concrétiser cela, peut-être en fin d’année si tout va bien. J’espère tenir ce but !
3 – Garnir ma garde-robe en tricots d’été.
Depuis que je me suis mise ces dernières années au tricot estival, je m’amuse beaucoup à réaliser des hauts et tops pour les beaux jours. Je commence à avoir pas mal de modèles, mais j’avais envie de continuer à étoffer ma petite collection de hauts.
Et je m’y tiens : j’ai depuis fini un débardeur, mon Float de Kim Hargreaves que j’aime beaucoup (techniquement fini en décembre 2023, mais quand même), ainsi qu’un t-shirt, le Lil Daisy Tee, parfait pour le printemps. Je suis également en train de tester un autre top estival, un joli débardeur, que j’ai hâte de vous présenter prochainement !
Avec ça, je continue de pouvoir porter du tricot toute l’année, pour mon plus grand bonheur ! 🙂
4 – Me faire des gilets.
En faisant un point sur ma garde-robe tricot, je me suis rendue compte que j’avais énormément de pulls, pas mal de tops, mais quasiment aucun gilet. J’ai tendance à graviter vers les modèles de pulls, et moins de cardigans et gilets, ce à quoi j’ai décidé de remédier cette année.
Pari pour l’instant tenu, avec un premier gilet mi-saison, le Carantec, terminé il y a quelques mois et que je porte régulièrement. Un modèle à manches mi-longues que j’aime énormément. J’ai tout récemment commencé un autre gilet, plus approprié pour l’automne et l’hiver, que je vous présenterai lorsqu’il sera fini. Et qui me permettra d’avoir assez bien rempli cet objectif !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui. J’espère que cet article vous a plu, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec vos retours car je vous réponds toujours avec plaisir. On se retrouve bientôt pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise.
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Je me prends pour le Docteur Frankenstein : petite robe d’été improvisée.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article, avec au programme un peu de couture. L’été s’installe enfin et avec lui des envies de robes estivales. J’ai récemment acheté plusieurs tissus chez Les Coupons de St Pierre pour divers projets, dont de la déco pour la maison, mais aussi de quoi me faire quelques robes. Parmi ces tissus, j’avais choisi un vichy orange avec l’idée de m’en faire une petite robe légère pour les jours chauds. Je vous propose de découvrir le résultat aujourd’hui ! En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
Pour cet objectif de robe d’été, je vous avoue que je n’avais pas de patrons particuliers en tête, mais j’ai eu une envie de combiner plusieurs patrons que j’aime particulièrement en y ajoutant également des éléments bonus. Je me suis donc glissée dans la peau du Docteur Frankenstein pour créer mon petit monstre sur mesure.
Pour le bas, je savais que je voulais un maximum d’amplitude et de mouvements. La jupe Stanwyck de chez Charm Patterns s’est vite imposée : en plus d’un volume parfait, c’est une jupe d’une grande simplicité à réaliser. Je l’ai déjà combinée à des hauts pour transformer la jupe en robe, donc je savais que c’était possible.
J’ai choisi d’utiliser, pour le haut de la robe, un patron d’un livre de couture « 200 robes à partir de 20 patrons » que j’avais déjà travaillé par deux fois. J’aime beaucoup celui-ci, avec son encolure ronde, ses pinces poitrine et dos. Tout comme la Stanwyck, je connais bien ce patron, qui est un jeu d’enfant à assembler.
Enfin, j’avais une folle envie de manches avec plein de volume, dans lesquels me sentir à l’aise. J’ai improvisé avec mon reste de tissu, découpant deux grandes formes de cloches, à froncer sur le dessus, pour obtenir le résultat voulu.
Concernant le tissu, il s’agit d’un polyviscose imprimé vichy, avec des assez gros carreaux, oranges et blancs. J’ai opté pour trois mètres, ce qui est parfait pour faire une robe avec beaucoup d’amplitude sur la jupe. La matière est assez légère, plutôt respirante, et certains des carreaux ont un léger fini un peu brillant que je trouve chouette. En revanche, il n’a aucune élasticité, ce qui a été un peu un problème sur ce projet (je vous en reparle après). Je ne suis pas une grande fan du orange d’habitude, mais moi qui adore le vichy, j’ai décidé de me laisser tenter par cette couleur vitaminée.
Passons à l’étape fun maintenant, la réalisation de cette robe. Après avoir découpé toutes mes pièces, j’ai commencé par coudre la jupe, ne laissant que la couture dos à faire ensuite. Comme je connais ce patron et que je savais que ça tomberait bien en terme de longueur, j’en ai profité pour faire de suite mon ourlet. J’ai ensuite réalisé les pinces pour le haut, que j’ai assemblé, avant de le coudre à la jupe. J’ai froncé et cousu mes manches au corps, et enfin j’ai posé ma fermeture éclair et cousu la couture dos.
Comme j’avais déjà cousu ces patrons par le passé, j’ai été honnêtement plutôt rapide pour réaliser la totalité de la robe. Je pensais honnêtement en avoir pour plus de temps, mais j’ai aussi su utiliser l’expérience que je commence désormais à avoir en optimisant mon temps en travaillant les étapes ensemble. Par exemple, pour le haut, j’ai fait toutes les pinces en premier, et après avoir cousu les différentes pièces pour le haut et le bas, j’ai fait mes finitions zig-zag toutes d’un coup. Je trouve que ça m’a permis d’économiser du temps et d’être plus efficace, et je dois avouer être très contente d’arriver à faire ce genre de choses par moi-même maintenant.
Le résultat final me plait beaucoup dans l’ensemble, malgré un petit bémol. Dans les points positifs, je suis assez surprise d’aimer à ce point le orange, mais au final, j’adore. Je suis très contente du volume pour la jupe et pour les manches, c’est exactement ce que j’avais en tête. Le tissu tourne bien et malgré le fait qu’il soit légèrement transparent, on ne voit rien en dessous. Je suis contente de voir mes progrès et d’être capable d’improviser une robe de la sorte.
Par contre, j’ai été assez surprise de me rendre compte que j’étais bien serrée à la poitrine, au point de devoir faire des ajustements de sous-vêtements. J’ai pourtant utilisé la même taille que pour les robes précédemment cousues avec ce patron, dans lesquelles je suis pourtant bien, et même assez à l’aise. J’ai repassé tout mon parcours couture plusieurs fois, mais impossible de trouver où j’ai pu faire une erreur. Je pense donc que vu la raideur du tissu, j’aurais dû prévoir un poil plus large, ce que je n’ai pas pensé à faire.
Mais à l’exception de ce bémol, je suis très satisfaite de cette robe qui va m’accompagner tout au long de l’été. ça me donne encore plus envie de tenter des choses dans des couleurs que je ne porte pas souvent.
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que cet article vous plait, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec vos retours, je vous réponds toujours avec plaisir. On se retrouve bientôt pour un nouveau post, en attendant prenez soin de vous !
La Tricomtoise.
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Le Bazar #13.
Bonjour, tout le monde!
Soyez les bienvenus sur la Tricomtoise pour un nouvel article. Au menu du jour, un petit Bazar : dans ces articles, je vous présente des petits projets que j’ai pus réaliser mais pour lesquels un article complet n’aurait pas trop d’intérêt. Pour ce 13ème numéro (déjà !), je vous propose de la couture et du crochet. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture !
Couture : le sac Big Coup de cœur de Le Dressing de Cindy.
Si vous faites de la couture et que vous passez du temps sur les réseaux sociaux, vous connaissez sans aucun doute le Dressing de Cindy. Depuis plusieurs mois, elle propose régulièrement, en plus de son contenu couture habituel, des patrons gratuits de vêtements. Mais en ce qui me concerne, c’est un accessoire qui a attiré mon attention : le sac Big Coup de Cœur, qui porte parfaitement son nom en raison de sa forme et de sa taille. Patron lui aussi gratuit, il comprend plusieurs options (froufrous, poche plaquée en forme de cœur) pour le customiser selon vos envies.
Pour ma version, j’ai choisi de partir sur un duo très girly : un velours côtelé vieux rose et un coton blanc avec des petits motifs de cœurs rouges pour rester dans le thème. J’ai acheté mes fournitures à la Mercerie Mimosa et j’ai utilisé le coton pour la doublure et la poche plaquée. C’est un projet assez intuitif et simple à réaliser, qui nécessite de bien travailler les arrondis pour être sûr d’avoir la plus belle forme possible.
J’ai ajouté un petit bouton décoratif et un ruban avec mon coton pour l’accessoiriser un peu et j’adore le résultat final. Je me sers beaucoup de ce sac car mine de rien, on peut y mettre pas mal de choses et il est en plus vraiment chouette, une belle pièce !
Crochet : Amigurumi.
Lorsqu’on parle de crochet, je dois dire que j’aime particulièrement faire des amigurumi, même si j’en fais peu souvent. Faire de petits personnages me plaît beaucoup, surtout quand il s’agit de Pokémon ou personnages que j’apprécie. C’est le cas de l’ours Rilakkuma, personnage de San-X, dont j’adore le côté super chill. Il y a plusieurs mois, j’ai trouvé lors d’un salon de loisirs créatifs un kit pour réaliser ce personnage en crochet, en partenariat avec So Croch. Le petit plus : il arbore une tenue qualifiée de parisienne, avec une petite casquette et une salopette trop mignonne.
Le kit est très complet, avec un vrai crochet (un plus : souvent ce genre de kits contient des crochets en plastique mous pas très pratiques), des marqueurs, les différents fils, du rembourrage et les instructions. Je me suis beaucoup amusée sur ce projet, et je suis assez fan du résultat, notamment de la peluche en elle-même : j’ai bien travaillé ma tension et je le trouve très mignon. Je suis un peu moins satisfaite de la salopette, car elle est très grande (ça ne se voit pas forcément sur la photo). Je pense que c’est car j’ai pas mal relâché ma tension, les indications conseillant de ne pas travailler trop serré. Mais malgré ce léger bémol, je suis conquise et je recommande ce kit sans hésitation.
Crochet : une décoration mortelle !
Pour conclure, je voulais vous montrer un récent projet crochet que j’ai beaucoup aimé faire. Mon père, grand fan de hard rock et de métal, est connu dans notre famille pour ses mille et uns accessoires tête de mort. Bagues, colliers, t-shirts, mugs, décorations, du moment qu’il y a une tête de mort, il est content. J’ai donc eu envie de lui faire une petite surprise maison pour la fête des pères, avec cette décoration murale en crochet.
Je suis tombée sur le patron via Pinterest et j’ai vu plusieurs tutoriels différents. J’ai suivi celui-ci et je suis partie sur un combo assez fun, noir et blanc cassé en Hamilton Tweed de BC Garn, que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester. J’ai bien fait attention à ma tension pour un résultat optimal, et après blocage j’ai rajouté une sangle et des franges.
Mon père a adoré et je suis personnellement ravie du résultat que je trouve super marrant. En crochet de 5mm ça donne quand même une bonne taille, et c’était au final assez rapide à faire. Franchement sympa !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que ces trois petits objets vous plaisent, n’hésitez pas à me laisser un commentaire avec votre réalisation préférée, je vous répondrai avec plaisir. On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise