Couture
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Un tissu, deux sacs.
Bonjour, tout le monde !
Je suis ravie de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article couture. Cette semaine, je vous propose de découvrir deux de mes derniers projets, deux accessoires que j’ai réalisés en ce début d’année. Comme j’aime le faire de temps en temps, je me suis rendue sur les le site des coupons de Saint-Pierre lors des soldes pour voir s’il y avait des tissus qui pouvaient m’intéresser. J’ai évidemment acheté deux coupons, qui n’étaient pas en soldes, mais pour des projets que j’avais vraiment très envie de faire. Tout d’abord, un tissu fleuri pour me faire une robe inspiration rétro que j’espère vous présenter bientôt, et ensuite un super tissu très fun imprimé Scooby-Doo pour faire des accessoires. Ce sont ces accessoires que je vous propose de découvrir aujourd’hui, deux versions différentes de sacs que j’ai beaucoup aimés coudre. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture !
Quand j’ai vu ce tissu sur les groupes de Saint-Pierre, j’ai tout de suite eu le coup de foudre. Je suis super fan de Scooby-Doo depuis que je suis petite, j’adorais regarder les dessins animés avec mon frère, et j’adore également les deux films sortis au début des années 2000. Je savais que je voulais faire quelque chose avec ce tissu mais je n’avais pas forcément d’idée. C’est ma mère qui m’a donné l’inspiration pour faire des accessoires avec. En effet, elle m’a demandé de coudre un sac type tote bag qu’elle voulait offrir à une amie, et je me suis dit que ça serait également une bonne idée de coudre un autre type de sac avec ce tissu.
Pour ce qui est du tote bag, rien de bien sorcier. Si vous avez appris à coudre ou que vous apprenez à coudre, je pense que vous êtes êtes déjà passé par cette phase de débutant où le tote bag est l’un des premiers projets que l’on apprend à faire. J’avais appris à coudre un tote bag lors de l’un de mes premiers cours de couture et depuis j’en ai cousu plusieurs autres, avec des techniques et des finitions différentes (sangles en tissu, des sangles tissées, avec des poches doublées…). Pour cette version, je suis partie sur un tote bag de taille assez standard et j’ai utilisé le tissu pour faire des sangles assorties. J’ai décidé de le doubler et de coudre les coins inférieurs du sac pour lui donner un peu plus de profondeur et pour qu’il soit plus facile d’utilisation. Le fait de le doubler permet de le rendre un peu plus durable dans le temps, ce qui est bien quand on transporte des choses un peu lourdes dans son sac, comme des livres ou des provisions. Le tissu étant un coton assez épais, ça rend du coup très bien. Je suis restée simple sur ce projet, je n’ai pas ajouté de poche ou d’autres éléments car je voulais que la star reste l’imprimé du tissu.
Pour la deuxième version de sac, j’ai décidé de tenter quelque chose que je n’avais encore jamais fait : un sac cabas point encore une fois, c’est ma maman qui m’a donné l’idée car elle souhaitait un sac de ce type là. J’ai donc cherché sur internet l’inspiration et je suis tombé sur le tutoriel du sac cabas rapido de la chaîne Youtube de Monsieur Couture, pour lequel j’ai craqué. J’aime beaucoup ces tutoriels, car ils sont toujours très clairs et faciles à suivre, surtout pour les accessoires. J’ai donc réalisé deux cabas, un pour ma maman et un pour moi avec ce tutoriel. Je l’ai trouvé très facile à suivre, et j’ai particulièrement aimé les finitions avec les coins extérieurs repliés dans le sac, qui donne de la profondeur et qui donne l’impression qu’on a fait une couture un peu plus complexe qu’en réalité. J’ai apporté des modifications à ce tutoriel, d’abord en allongeant les sangles de façon à pouvoir porter le tabac sur l’épaule. Également, j’ai décidé de ne pas ajouter de boutons pression pour fermer le sac, même si j’ai hésité à le faire, car j’ai plutôt tendance à vouloir farfouiller facilement dans mon sac et je me suis dit que le bouton pression allait vite m’agacer.
Je n’ai pas rencontré de difficultés particulières avec ce projet, même si j’ai dû m’y reprendre à deux fois pour la doublure des sacs car je n’arrivais pas à intégrer le pli à l’intérieur. Mais le résultat final est vraiment très chouette, le cabas est moins grand que ce que j’imaginais mais au final on peut y mettre beaucoup de choses. Je voulais un sac qui soit entre le tote bag et le sac à main pour mes sorties courtes, pour lesquelles je n’ai besoin que de mon porte-monnaie et de mon tricot ce qui m’évite du coup d’avoir à embarquer un sac pour le tricot et un sac avec mes affaires personnelles.
je suis vraiment contente du résultat de ces différents projets, j’ai pu bien m’en servir pour l’instant et il me reste encore du tissu pour réaliser d’autres choses avec cette imprimé au top. Je me demande même si je ne vais pas me faire une jupe ou un haut avec ce tissu, en tout cas je vous montrerai le résultat dans un futur article.
En tout cas, si cet article vous a plu, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire je vous répondrai avec plaisir ! Je vous retrouve bientôt pour le prochain poste, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise
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I am Rainbow – I AM Patterns
Bonjour, tout le monde !
Je suis ravie de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article, le dernier de cette année 2024. Devant donner naissance prochainement et avec les fêtes qui approchent, je prends quelques semaines de vacances pour mieux revenir en janvier 2025. Pour terminer décembre en beauté, je vous propose un petit article couture, avec un de mes derniers projets en date : après plusieurs tricots et coutures pour mon fils, c’est à mon compagnon que j’ai cette fois cousu quelque chose. Il s’agit d’un sweat de chez I AM Patterns, le modèle Rainbow. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture !
Mon compagnon est un bonhomme assez grand et un peu frileux, qui aime les pulls et les sweats à la coupe simple. Mais il a souvent du mal à trouver son bonheur en magasin, car il a un torse et des bras assez longs. La plupart des vêtements du commerce ont tendance à être trop courts pour lui. J’ai donc eu envie de lui coudre des hauts bien chauds pour l’hiver, adaptés à ses mensurations.
Une des amies m’a conseillé le patron Rainbow de chez I AM Patterns, une marque que je n’avais pas encore eue l’occasion de tester. Ce sweat est disponible via leur site en plusieurs langues, en version adultes ou enfants, femmes et hommes, soit en pochette soit en impression A0, A4 et A3. J’ai été conquise par le grand nombre de versions proposées par le patron : en effet, avec un seul patron, on a une version sweat classique, une version hoodie, avec ou sans zip, des poches ou pas de poches, des finitions différentes pour les cols et les finitions. C’est donc un modèle ultra versatile, un gros point positif, puisqu’on a 30 versions différentes !
Concernant les tailles, la version homme adulte va du XS au XXL et peut s’adapter assez facilement en longueur, un point positif quand on a un grand gaillard pour lequel coudre.
J’avais prévu de coudre deux sweats à mon compagnon et je lui ai donc proposé de choisir deux versions du patron pour lui réaliser. Mais il n’a pas vraiment choisi l’originalité puisqu’il a sélectionné un modèle simple, le G3, le sweat simple et classique. Et il m’a demandé de lui faire deux fois!
Pour le tissu, j’ai trouvé une petite pépite sur Les Coupons de St Pierre, un joli sweat molleton chaud et épais en 3m, avec un rendu légèrement chiné. Il a choisi un joli bleu ciel, avec du bord-côtes blanc pour la finition et apporter une petite touche de contraste.
Comme je l’ai indiqué plus haut, c’est la première fois que j’utilise un patron d’I AM Patterns et j’ai été séduite ! J’ai trouvé que la présentation était très claire, facile à suivre : en effet, pour chaque version, il est clairement indiqué les pièces à couper, dans quels tissus, et quelles étapes du patron suivre pour la réalisation. Les indications écrites sont accompagnées de dessins techniques qui permettent d’identifier ce qu’on doit faire avec facilité.
Comme j’ai travaillé une version assez simple, j’avais peu de pièces et d’étapes à couper et suivre. Mon avis n’est donc pas le plus détaillé car je n’ai pas eu à faire des parties complexes comme les poches ou la capuche, mais j’ai apprécié la clarté des instructions. Vu les matières choisies, et comme j’ai cousu les sweats pendant mon cours de couture collectif, j’ai pu utiliser la surjeteuse, vraiment top pour des finitions nickels.
Les deux versions ont été assez rapides à coudre et je suis très contente du rendu. Le bleu et le blanc se marient bien ensemble et le tissu est vraiment chaud. Ce qui était un critère important pour cette réalisation !
Mon conjoint est très content de ses pulls qu’il porte régulièrement depuis que je lui ai offerts. Cette expérience m’a donné envie de tester d’autres patrons de I AM à l’avenir car j’ai été conquise par celui-ci!
J’espère en tout cas que cet article vous plaît, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec votre retour, je vous répondrai avec plaisir. On se retrouve début janvier avec un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise.
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Je couds pour bébé – La salopette « Court toujours » de Ma Petite Mercerie.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article, cette fois avec de la couture. Comme vous le savez peut-être si vous suivez ce blog ou mon compte Instagram, j’attends actuellement un bébé qui arrivera prochainement, et je passe donc pas mal de temps en ce moment à lui préparer des affaires, comme j’ai déjà pu vous en présenter sur le site. Non seulement en tricot, mais aussi via d’autres loisirs créatifs. Je travaille depuis quelques semaines sur plusieurs vêtements en couture à l’aide du livre L’encyclopédie de la couture pour bébé de Ma petite mercerie et je me suis dit que j’allais vous présenter mes réalisations au cours des prochains mois. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture.
C’est mon amie Cathy qui m’a prêté ce livre et je l’explore depuis plusieurs semaines maintenant. Je trouve ce livre assez complet : il comprend de nombreux patrons pour habiller bébé de la naissance et pendant ses premières années de vie. Il y a des bas, des hauts, des combinaisons, des vestes ou encore des accessoires et des petits jouets. Bref, un livre avec lequel on a de quoi faire !
Parmi les différents modèles sur lesquels j’ai craqués, il y a la salopette « Court toujours », qui peut se réaliser en version printanière/estivale avec des tissus légers, ou en version plus chaude, avec par exemple du velours. Je la vois bien portée seule, ou avec un t-shirt, un pull, un gilet… Bref, j’ai craqué pour cette pièce et sa versatilité.
Je l’ai donc cousue en deux exemplaires, ce que j’essaie de faire à chaque fois que je trouve un vêtement sympa, soit en deux tailles différentes, soit en deux types de tissus pour étoffer la garde-robe robe de mon bébé. Dans le cas de cette salopette, je suis partie sur une taille 18 mois, car j’ai déjà énormément de vêtements dans de plus petites tailles et parce que l’absence de boutons dans le dos ou l’entrejambe rend la salopette pratique pour un tout petit qu’il faut changer souvent.
J’ai réalisé ma première salopette en cours de couture, en utilisant une popeline de coton que j’ai trouvée à Mondial Tissus : je voulais quelque chose de léger pour être portée en printemps/été, et j’ai craqué sur son motif de fusées. Pour aller avec, des boutons scintillants bleus foncés qui ont un petit côté galaxie.
J’étais contente de la faire en cours de couture, car j’ai pu appréhender les différentes étapes de ce projet avec la supervision de la prof. J’ai pu utiliser une surjeteuse pour les finitions, une bonne chose pour renforcer ce vêtement en tissu fin.
J’ai trouvé les étapes assez simples à suivre dans l’ensemble, notamment grâce aux différents petits dessins techniques présentés dans le livre, cependant je trouve quand même que cet ouvrage s’adresse à des personnes qui ont déjà des bases de couture. Ne serait-ce que pour décalquer les bonnes pièces sur les planches (j’ai trouvé que ce n’était pas la partie la plus simple, déjà parce qu’il a y beaucoup de patrons sur chaque planche, mais en plus les tailles ne sont pas toujours clairement indiquées), mais aussi parce que je sais, d’expérience, que je ne m’y serais pas aussi facilement retrouvée dans les étapes si je n’avais pas déjà un peu de pratique.
Comme j’étais ravie de ma première version, j’en ai cousue une seconde à la maison, toujours en 18 mois, avec cette fois des chutes que j’avais dans mon stock. En tissu principal, j’ai choisi un jean qui a pas mal de stretch (parfait pour un bébé qui bouge et doit être à l’aise dans ses mouvements). Comme il est assez épais, j’ai fait l’impasse sur le thermocollant recommandé pour certaines petites parties et que j’ai utilisé pour la première salopette. Et histoire d’ajouter un petit élément fun à cette salopette, j’ai décidé de me servir de chutes d’un coton fantaisie avec un imprimé inspiration manga pour les poches plaquées et pour les enformes à l’intérieur de la salopette, pour un rappel.
Je suis très contente de cette seconde salopette, car j’ai déjà pu mettre en pratique ce que j’ai appris en cours, mais aussi parce que j’ai trouvé intéressant de travailler le même projet dans des tissus vraiment très différents. Pour cette version en jean, j’ai utilisé un fil bleu marine pour les surpiqûres pour rappeler les tailles qu’on peut retrouver sur des vêtements faits dans ce tissu habituellement.
Je suis très contente de ces deux salopettes qui attendent désormais d’être portées, même si ça ne sera pas tout de suite. Elles sont super au niveau des finitions et combinent ce que je recherche pour mon fils, à savoir une garde-robe fonctionnelle mais mimi en même temps.
J’ai hâte de vous présenter les autres vêtements que j’ai cousus avec de livre, dans les prochains mois, et n’hésitez pas à me laisser votre avis sur ces premières réalisations en commentaire, je vous répondrai avec plaisir ! On se retrouve bientôt pour le prochain article, en attendant prenez soin de vous !
La Tricomtoise
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Patsy Blouse – Charm Patterns by Gertie.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui sur le blog pour un nouvel article couture, pour vous présenter ce qui est, à ce jour, un de mes projets les plus ambitieux : une chemise, ma toute première (mais pas la dernière !). Mais attention, pas n’importe quelle chemise : tant qu’à faire, je voulais mettre le paquet avec une chemise façon cow-boy / western, colorée et avec tout un tas de petits détails sympas. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture !
Depuis que j’ai commencé la couture, j’ai pu coudre plusieurs hauts, principalement des blouses plutôt amples et des débardeurs. Je voulais donc me lancer un défi, celui de coudre une chemise. Ce vêtement est souvent reconnu pour être technique, on peut moins cacher ses boulettes, et comme je n’en avais pas dans ma garde-robe, ça m’a donné envie de m’y mettre. J’ai profité des cours de couture que je prends pour m’attaquer à ce projet, histoire de pouvoir être supervisée dans les étapes compliquées.
Comme souvent, j’ai trouvé mon bonheur dans la collection de patrons de Charm Patterns, dont, vous le savez si vous suivez le blog, je suis très fan. Je couds régulièrement leurs patrons, qui collent bien à mon style. C’est la Patsy Blouse qui a attiré mon attention : cette chemise western correspondait à mes critères partiellement cités plus haut, à savoir une coupe retro, des détails accrocheurs et une touche country pour me donner l’impression d’être Dolly Parton.
Les patrons Charm Patterns comprennent toujours de nombreuses variantes : plusieurs cols, poches plaquées, manches courtes, longues ou bouffantes, bref, il y a de quoi s’amuser. J’ai choisi de partir sur une version manches longues avec col classique et les « western overlays », ces pièces de tissu contrastant sur le devant, le dos et les manches. On peut aussi rajouter des franges, ce que je ferai peut être sur une future version.
Je suis partie sur la taille 14, celle que je fais habituellement et qui correspondait à ma taille au moment de commencer ce projet (depuis, mon corps a changé puisque je suis enceinte, je ne rentre que difficilement dedans !). Comme c’était ma première chemise, j’ai voulu rester dans la simplicité question tissus : on peut la réaliser dans de nombreux tissus, du satin, de la viscose, ou de la soie, mais c’est sur du coton que je me suis positionnée. C’est un tissu plus simple à coudre que ceux que j’ai mentionnés avant, donc pour une première sur un vêtement challengeant, ça me paraissait plus sûr. J’ai jeté mon dévolu sur un joli coton violet (une de mes couleurs préférées) et, pour le tissu contrastant, une belle viscose rose de chez Lise Tailor. Avec son imprimé floral, je la trouvais juste trop chouette ! Les boutons marguerites étaient donc parfaits pour finir l’ensemble.
Je me suis beaucoup amusée sur la partie couture de cette chemise. J’ai trouvé que c’était effectivement un vêtement technique, mais les explications, comme toujours chez Charm Patterns, sont claires et bien détaillées. J’étais contente de la faire en cours pour être sûre de travailler proprement, et j’ai adoré soigner les détails et finitions. Mes parties préférées ont été la couture des western overlays, les finitions des manches et l’apprentissage de nouvelles techniques (par exemple, les pinces poissons, que je ne connaissais pas et que j’ai trouvées super pour la construction et apporter de la structure de la chemise). Le col m’a donné un peu de fil à retordre dans la pose, mais au final on y est arrivé !
Dans l’ensemble, cette chemise est pour moi plus qu’une réussite. Elle correspond exactement à mes attentes et je la trouve super funky. Je suis contente d’avoir appris de nouvelles techniques et d’avoir pu, en prenant le temps, améliorer mes compétences couture en travaillant mes finitions, un de mes objectifs 2024.
J’ai hâte de pouvoir la porter l’année prochaine, puisque pour l’instant avec ma grossesse je ne rentre pas dedans. Cette chemise me donne envie de continuer dans les projets complexes et de me lancer plus de défis.
En tout cas, j’espère que cette chemise vous plaît, tout comme cet article. N’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec votre retour, je vous répondrai comme toujours avec plaisir ! On se retrouve bientôt pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise .
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Ma première banane – Ma petite mercerie.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article. Si vous êtes fréquemment sur Instagram, vous aurez sans doute vu passer de nombreuses bananes cousues dans toutes les couleurs et toutes les tailles. La banane est indéniablement devenue un incontournable, mais je n’avais jamais vraiment eu envie de m’en faire une, étant plutôt team sac en bandoulière. Mais j’ai récemment reçu une petite commande de ma maman, qui avait envie d’une banane pour sa fête. Je me suis donc pliée avec plaisir à cet exercice et je vous propose de découvrir aujourd’hui le résultat. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
Il est assez facile de trouver des tutoriels et patrons pour réaliser des bananes sur internet ; j’ai choisi de faire la version de Ma Petite Mercerie, car plusieurs de mes amies l’ont utilisée, avec succès, grâce au pas à pas détaillé et à la vidéo explicative disponible sur YouTube. Cette banane en particulier est disponible en deux tailles : la classique et une version XXL. Ma maman a choisi la version classique, qui mesure un peu plus d’une trentaine de centimètres.
Pour le tissu, j’ai respecté les choix de ma maman : un velours vieux rose pour l’extérieur, un coton gris perle pour l’intérieur. La sangle est elle aussi grise avec des paillettes rose gold, qui vont bien avec la boucle et la petite étiquette qu’elle voulait. On complète avec une fermeture éclair et le tour est joué ! Dans mon cas, j’ai trouvé l’intégralité des fournitures à la Mercerie Mimosa, à Dijon : si vous habitez dans les environs et que vous voulez faire une banane, on y trouve tout ce qu’il faut !
J’avoue que j’appréhendais un peu la réalisation de cette banane, sans vraiment savoir pourquoi. Je pense que c’est parce que même si j’ai déjà eu l’occasion de faire des accessoires, j’ai très peu travaillé avec des sangles ou boucles, j’avais donc un peu peur de cette étape.
Au final, j’ai beaucoup aimé coudre la banane. Je me suis servie de la vidéo de Ma Petite Mercerie, que j’ai trouvée très bien faite dans son ensemble, avec des explications claires (même si j’aurais aimé un peu plus de détails sur certains moments, comme la fameuse installation de la boucle : je me suis trompée et j’ai dû aller voir un autre tuto pour y arriver) et bien illustrées. C’était globalement une réalisation assez facile et rapide (il ne m’a fallu qu’une après-midi pour faire toute la partie couture), et je pense que si vous avez des notions de couture, vous devriez pouvoir vous en sortir, l’étape la plus compliquée étant la pose de la fermeture éclair proprement sur l’arrondi.
Le résultat est vraiment top et correspond à ce que le patron promet. Ma mère est ravie de sa banane et je suis très satisfaite du résultat aussi, qui fait bien soigné. La possibilité de pouvoir personnaliser à l’infini sa banane, entre les choix de tissus, de couleurs, de sangles et des différents éléments est un vrai plus. Mon seul bémol est que le patron recommande 1m de sangle, que je trouve un peu limité si vous avez de la poitrine ou si vous avez une bonne carrure. Dans le cas de ma maman, ça passe, mais j’aurais tendance à prendre plus 1m20 ou 30 si je devais refaire ce projet.
En parlant de le refaire, je me tâte désormais à faire une seconde banane, cette fois pour moi. Je trouve l’idée d’avoir ses affaires accessibles facilement devant soi très pratique, et avec un bébé bientôt là, ça peut être pas mal du tout !
En tout cas, si la banane fever vous tente, je vous recommande ce patron sans hésiter car il tient ses promesses !
J’espère en tout cas que cet article vous plait, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec votre retour, je vous répondrai avec plaisir. On se retrouve très vite pour un nouveau post, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise.
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Cinch-It Dress – Charm Patterns de Gertie.
Bonjour tout le monde !
J’espère que vous allez bien et que vous passez un bel été. Je suis ravie de vous retrouver sur le blog après deux semaines de vacances, pendant lesquelles j’ai pu me reposer, mais aussi coudre, tricoter et créer. Pour la reprise, je vous propose de découvrir un projet que j’ai cousu pendant mes vacances, une jolie robe assez significative pour moi. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
Si vous me suivez sur ce blog ou Instagram, vous savez que j’affectionne tout particulièrement les patrons de Charm Patterns by Gertie, avec leur inspiration ultra vintage. J’ai pu réaliser un grand nombre de robes et vêtements avec ces patrons et je n’ai pour l’instant pas été déçue. Cette fois, mon choix s’est orienté vers un patron que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester, une robe nommée la « Cinch-It Dress« , en référence à sa coupe ultra évasée qui s’adapte à votre morphologie avec soit une ceinture ou l’ajout de smocks directement sur la robe.
Cette coupe change des silhouettes habituellement très cintrées de Gertie, mais m’a attirée car il se trouve qu’en ce moment et pour les prochains mois, j’ai besoin d’un peu plus d’espace dans mes vêtements et pour cause : j’attends un bébé ! Si pour l’instant je rentre encore à peu près dans la plupart de mes vêtements, j’ai envie et besoin d’anticiper avec quelques coutures un peu plus amples. Cette robe était donc parfaite pour un premier projet grossesse.
Pour l’occasion, j’ai décidé d’utiliser une jolie viscose crêpe que j’ai trouvée sur les Coupons de Saint-Pierre en promo (10 € les trois mètres, une affaire). Très fluide, ce tissu violet avec de belles fleurs noires a su m’attirer par son motif et sa légèreté est un vrai bonus pour une robe estivale, qui peut facilement être portée en mi-saison avec des collants et un gilet. 3 mètres, c’est pile ce qu’il fallait pour ce projet, ça tombait bien !
La réalisation de cette robe a été assez facile. Comme toujours chez Gertie, on a plusieurs options de manches, de cols, de poches, ce qui permet de personnaliser à fond votre robe. Dans mon cas, je suis partie sur une version simple, avec des manches courtes évasées, sans col ni poches, et sans l’option de smocker la taille. J’ai tendance à faire les versions les plus simples la première fois que je me lance dans un patron, car ça me permet de bien appréhender les étapes.
La partie la plus fastidieuse a été la découpe des pièces, car même si elles ne sont pas nombreuses, elles sont particulièrement grandes. Sur mon tissu un peu glissant, il a fallu prendre son temps ! Mais ensuite, j’ai été très agréablement surprise par la facilité à coudre cette robe, qui est vraiment un modèle assez accessible. Sa coupe évasée permet de l’enfiler sans avoir besoin de fermeture éclair, ce qui facilite le montage. J’ai pu me concentrer sur les finitions, notamment sur l’encolure avec son effet « keyhole » qui se ferme par un bouton.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour coudre cette robe et je suis honnêtement ravie du résultat : non seulement le tissu est superbe et se prête bien à cette silhouette à cintrer soi-même, mais en plus le rendu est à la hauteur de mes attentes. Je suis à l’aise dans la robe, tout en ayant quelque chose qui correspond à mon style et que je pourrais porter jusqu’à la fin de ma grossesse et en post-partum. La partie couture a été ultra simple, vraiment je songe déjà à me recoudre cette robe dans un autre tissu !
Je suis très contente d’illustrer cet article par de belles photos réalisées par ma belle-sœur avec beaucoup de talent pour un petit shooting maternité. Le rendu est plus que superbe !
Si vous cherchez une robe ample ajustable facilement et rapide à coudre, qui peut se décliner avec plusieurs options, je vous recommande sans hésiter ce modèle. J’en suis plus que satisfaite et la porter est un vrai plaisir !
J’espère que cet article vous a plu, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec votre retour et je vous répondrai avec plaisir. On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant prenez soin de vous ! 🙂
La Tricomtoise
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Je me prends pour le Docteur Frankenstein : petite robe d’été improvisée.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver sur le blog pour un nouvel article, avec au programme un peu de couture. L’été s’installe enfin et avec lui des envies de robes estivales. J’ai récemment acheté plusieurs tissus chez Les Coupons de St Pierre pour divers projets, dont de la déco pour la maison, mais aussi de quoi me faire quelques robes. Parmi ces tissus, j’avais choisi un vichy orange avec l’idée de m’en faire une petite robe légère pour les jours chauds. Je vous propose de découvrir le résultat aujourd’hui ! En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture ! 🙂
Pour cet objectif de robe d’été, je vous avoue que je n’avais pas de patrons particuliers en tête, mais j’ai eu une envie de combiner plusieurs patrons que j’aime particulièrement en y ajoutant également des éléments bonus. Je me suis donc glissée dans la peau du Docteur Frankenstein pour créer mon petit monstre sur mesure.
Pour le bas, je savais que je voulais un maximum d’amplitude et de mouvements. La jupe Stanwyck de chez Charm Patterns s’est vite imposée : en plus d’un volume parfait, c’est une jupe d’une grande simplicité à réaliser. Je l’ai déjà combinée à des hauts pour transformer la jupe en robe, donc je savais que c’était possible.
J’ai choisi d’utiliser, pour le haut de la robe, un patron d’un livre de couture « 200 robes à partir de 20 patrons » que j’avais déjà travaillé par deux fois. J’aime beaucoup celui-ci, avec son encolure ronde, ses pinces poitrine et dos. Tout comme la Stanwyck, je connais bien ce patron, qui est un jeu d’enfant à assembler.
Enfin, j’avais une folle envie de manches avec plein de volume, dans lesquels me sentir à l’aise. J’ai improvisé avec mon reste de tissu, découpant deux grandes formes de cloches, à froncer sur le dessus, pour obtenir le résultat voulu.
Concernant le tissu, il s’agit d’un polyviscose imprimé vichy, avec des assez gros carreaux, oranges et blancs. J’ai opté pour trois mètres, ce qui est parfait pour faire une robe avec beaucoup d’amplitude sur la jupe. La matière est assez légère, plutôt respirante, et certains des carreaux ont un léger fini un peu brillant que je trouve chouette. En revanche, il n’a aucune élasticité, ce qui a été un peu un problème sur ce projet (je vous en reparle après). Je ne suis pas une grande fan du orange d’habitude, mais moi qui adore le vichy, j’ai décidé de me laisser tenter par cette couleur vitaminée.
Passons à l’étape fun maintenant, la réalisation de cette robe. Après avoir découpé toutes mes pièces, j’ai commencé par coudre la jupe, ne laissant que la couture dos à faire ensuite. Comme je connais ce patron et que je savais que ça tomberait bien en terme de longueur, j’en ai profité pour faire de suite mon ourlet. J’ai ensuite réalisé les pinces pour le haut, que j’ai assemblé, avant de le coudre à la jupe. J’ai froncé et cousu mes manches au corps, et enfin j’ai posé ma fermeture éclair et cousu la couture dos.
Comme j’avais déjà cousu ces patrons par le passé, j’ai été honnêtement plutôt rapide pour réaliser la totalité de la robe. Je pensais honnêtement en avoir pour plus de temps, mais j’ai aussi su utiliser l’expérience que je commence désormais à avoir en optimisant mon temps en travaillant les étapes ensemble. Par exemple, pour le haut, j’ai fait toutes les pinces en premier, et après avoir cousu les différentes pièces pour le haut et le bas, j’ai fait mes finitions zig-zag toutes d’un coup. Je trouve que ça m’a permis d’économiser du temps et d’être plus efficace, et je dois avouer être très contente d’arriver à faire ce genre de choses par moi-même maintenant.
Le résultat final me plait beaucoup dans l’ensemble, malgré un petit bémol. Dans les points positifs, je suis assez surprise d’aimer à ce point le orange, mais au final, j’adore. Je suis très contente du volume pour la jupe et pour les manches, c’est exactement ce que j’avais en tête. Le tissu tourne bien et malgré le fait qu’il soit légèrement transparent, on ne voit rien en dessous. Je suis contente de voir mes progrès et d’être capable d’improviser une robe de la sorte.
Par contre, j’ai été assez surprise de me rendre compte que j’étais bien serrée à la poitrine, au point de devoir faire des ajustements de sous-vêtements. J’ai pourtant utilisé la même taille que pour les robes précédemment cousues avec ce patron, dans lesquelles je suis pourtant bien, et même assez à l’aise. J’ai repassé tout mon parcours couture plusieurs fois, mais impossible de trouver où j’ai pu faire une erreur. Je pense donc que vu la raideur du tissu, j’aurais dû prévoir un poil plus large, ce que je n’ai pas pensé à faire.
Mais à l’exception de ce bémol, je suis très satisfaite de cette robe qui va m’accompagner tout au long de l’été. ça me donne encore plus envie de tenter des choses dans des couleurs que je ne porte pas souvent.
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que cet article vous plait, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec vos retours, je vous réponds toujours avec plaisir. On se retrouve bientôt pour un nouveau post, en attendant prenez soin de vous !
La Tricomtoise.
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Le Bazar #13.
Bonjour, tout le monde!
Soyez les bienvenus sur la Tricomtoise pour un nouvel article. Au menu du jour, un petit Bazar : dans ces articles, je vous présente des petits projets que j’ai pus réaliser mais pour lesquels un article complet n’aurait pas trop d’intérêt. Pour ce 13ème numéro (déjà !), je vous propose de la couture et du crochet. En espérant que cet article vous plaise, je vous souhaite une bonne lecture !
Couture : le sac Big Coup de cœur de Le Dressing de Cindy.
Si vous faites de la couture et que vous passez du temps sur les réseaux sociaux, vous connaissez sans aucun doute le Dressing de Cindy. Depuis plusieurs mois, elle propose régulièrement, en plus de son contenu couture habituel, des patrons gratuits de vêtements. Mais en ce qui me concerne, c’est un accessoire qui a attiré mon attention : le sac Big Coup de Cœur, qui porte parfaitement son nom en raison de sa forme et de sa taille. Patron lui aussi gratuit, il comprend plusieurs options (froufrous, poche plaquée en forme de cœur) pour le customiser selon vos envies.
Pour ma version, j’ai choisi de partir sur un duo très girly : un velours côtelé vieux rose et un coton blanc avec des petits motifs de cœurs rouges pour rester dans le thème. J’ai acheté mes fournitures à la Mercerie Mimosa et j’ai utilisé le coton pour la doublure et la poche plaquée. C’est un projet assez intuitif et simple à réaliser, qui nécessite de bien travailler les arrondis pour être sûr d’avoir la plus belle forme possible.
J’ai ajouté un petit bouton décoratif et un ruban avec mon coton pour l’accessoiriser un peu et j’adore le résultat final. Je me sers beaucoup de ce sac car mine de rien, on peut y mettre pas mal de choses et il est en plus vraiment chouette, une belle pièce !
Crochet : Amigurumi.
Lorsqu’on parle de crochet, je dois dire que j’aime particulièrement faire des amigurumi, même si j’en fais peu souvent. Faire de petits personnages me plaît beaucoup, surtout quand il s’agit de Pokémon ou personnages que j’apprécie. C’est le cas de l’ours Rilakkuma, personnage de San-X, dont j’adore le côté super chill. Il y a plusieurs mois, j’ai trouvé lors d’un salon de loisirs créatifs un kit pour réaliser ce personnage en crochet, en partenariat avec So Croch. Le petit plus : il arbore une tenue qualifiée de parisienne, avec une petite casquette et une salopette trop mignonne.
Le kit est très complet, avec un vrai crochet (un plus : souvent ce genre de kits contient des crochets en plastique mous pas très pratiques), des marqueurs, les différents fils, du rembourrage et les instructions. Je me suis beaucoup amusée sur ce projet, et je suis assez fan du résultat, notamment de la peluche en elle-même : j’ai bien travaillé ma tension et je le trouve très mignon. Je suis un peu moins satisfaite de la salopette, car elle est très grande (ça ne se voit pas forcément sur la photo). Je pense que c’est car j’ai pas mal relâché ma tension, les indications conseillant de ne pas travailler trop serré. Mais malgré ce léger bémol, je suis conquise et je recommande ce kit sans hésitation.
Crochet : une décoration mortelle !
Pour conclure, je voulais vous montrer un récent projet crochet que j’ai beaucoup aimé faire. Mon père, grand fan de hard rock et de métal, est connu dans notre famille pour ses mille et uns accessoires tête de mort. Bagues, colliers, t-shirts, mugs, décorations, du moment qu’il y a une tête de mort, il est content. J’ai donc eu envie de lui faire une petite surprise maison pour la fête des pères, avec cette décoration murale en crochet.
Je suis tombée sur le patron via Pinterest et j’ai vu plusieurs tutoriels différents. J’ai suivi celui-ci et je suis partie sur un combo assez fun, noir et blanc cassé en Hamilton Tweed de BC Garn, que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester. J’ai bien fait attention à ma tension pour un résultat optimal, et après blocage j’ai rajouté une sangle et des franges.
Mon père a adoré et je suis personnellement ravie du résultat que je trouve super marrant. En crochet de 5mm ça donne quand même une bonne taille, et c’était au final assez rapide à faire. Franchement sympa !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que ces trois petits objets vous plaisent, n’hésitez pas à me laisser un commentaire avec votre réalisation préférée, je vous répondrai avec plaisir. On se retrouve très vite pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous !
La Tricomtoise
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Study Hall Dress – Charm Patterns by Gertie.
Bonjour, tout le monde !
Je suis très heureuse de vous retrouver aujourd’hui sur le blog pour un article couture, afin de vous présenter l’une de mes dernières réalisations. Si vous suivez mon blog ou mon compte Instagram, vous aurez déjà sûrement remarqué que j’ai plutôt tendance à avoir un style inspiration retro, un mélange d’années 40-50 avec un peu de moderne. Ce qui se reflète dans mes choix tricot mais surtout couture, privilégiant des pièces qui correspondent à ces styles. C’est cependant une autre décennie qui m’a inspirée pour une récente session couture : les années 60.
J’ai toujours beaucoup aimé les différents looks des années 60, principalement le style Mod britannique ou le style iconique de Priscilla Presley. Mais je n’ai jamais vraiment trop osé porter des vêtements de cette décennie. Peut-être pour une question de zone de confort ! J’ai fini par décider de sauter le pas lorsque Gertie, derrière Charm Patterns (que j’aime beaucoup, vous le savez) a sorti une robe courte à la coupe très 60s, nommée Study Hall.
La robe se présente comme une robe à la coupe légèrement trapèze, qui comprend de belles « princess seams », coutures arrondies qui forment la poitrine et se fondent ici dans deux énormes poches. Comme toujours chez Gertie, la customisation est au rendez-vous : plusieurs longueurs pour la jupe, option de rajouter un col, manches courtes ou longues… Sans compter le fait que la robe peut avoir un style ultra différent selon le tissu que vous choisissez : un look cottagecore avec un lin uni, ou un rendu encore plus 60s avec un imprimé floral funky, par exemple.
C’est cette seconde option qui m’a fait envie : j’adore les couleurs, j’adore les imprimés, et tant qu’à jouer la carte retro, autant y aller à fond. La Mercerie Mimosa à Dijon a une fois de plus fait mon bonheur : j’y ai trouvé un super tissu imprimé tulipes avec du rose, de l’orange, du blanc, du vert, délicieusement kitsch à souhait, parfait pour ce projet. La robe, contrairement à la plupart des patrons de Gertie qui sont habituellement très gourmands en terme de métrage, nécessite moins de 3m de tissu selon les options choisies et selon la taille (j’ai utilisé environ 2m pour ma version hackée sans poches).
Pour ma version, le motif étant assez chargé, j’ai décidé de faire simple, en n’ajoutant pas de col. J’ai opté pour la version courte, avec les manches longues (qui arrivent au niveau du coude), car j’ai envie d’une pièce mi-saison à porter en fin d’été et au printemps. J’ai également décidé de faire l’impasse sur les poches, un élément phare de la robe, car j’avais peu de temps pour coudre la robe avant de partir en vacances et comme je savais qu’elles allaient me prendre du temps pour être impeccables, j’ai préféré hacker le patron en modifiant légèrement quelques pièces pour transformer l’ensemble. C’est quelque chose que je n’aurais clairement pas fait à mes débuts, mais sur ce patron je me suis sentie assez confiante pour le faire.
Comme il s’agit d’un patron Patreon, disponible uniquement par cette plateforme, j’ai trouvé que les explications étaient un peu plus minimalistes que les patrons disponibles habituellement sur le site de Gertie. ça part du principe qu’on connait déjà certaines techniques et même les explications techniques sont bien moins détaillées que j’en ai l’habitude avec elle. J’avoue que ça m’a un peu déstabilisée car certaines étapes étaient un peu compliquées à comprendre, mais au final je m’en suis pas trop mal sortie.
La principale difficulté était de bien réussir les coutures arrondies, qui donnent toute la tenue à la robe. Ayant déjà fait des princess seams par le passé, je ne m’en suis pas trop mal tirée : le bon plan est de prendre son temps, de bien faire des crans propres et d’aller doucement pour réussir ses arrondis.
Pour le reste, c’est un modèle assez simple et le résultat correspond tout à fait à ce que je voulais, à savoir une robe mi-saison funky et confortable. Je pense la refaire dans d’autres tissus, peut-être plus épais, mais je vois bien cette pièce comme un basique qui peut se décliner de tout un tas de façons. Dans mon cas, je l’ai portée plusieurs fois depuis que je l’ai finie et je l’aime beaucoup. Le motif est vraiment super, il rend trop bien sur la robe et j’en suis fan !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! J’espère que cet article vous a plu, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire, je vous réponds toujours avec plaisir. On se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau post, en attendant comme toujours prenez soin de vous 🙂
La Tricomtoise.
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True Blood Sewing : je me couds la garde-robe de Sookie Stackhouse #3 – I will rise up.
Bonjour, tout le monde !
Je suis ravie de vous retrouver sur le blog après quelques jours de vacances pour moi, qui m’ont fait le plus grand bien. J’en ai profité pour beaucoup me reposer, faire des visites (nous sommes partis en Grèce) et également tricoter. Me voilà donc de retour pour un nouveau post couture, le troisième de ma série inspirée par l’univers de True Blood. Il y a quelques semaines, je vous présentai une première robe tout droit sortie de la garde-robe de Sookie Stackhouse. J’ai récemment réalisé une seconde robe, que je vous propose de découvrir aujourd’hui !
Attention : si vous n’avez jamais vu True Blood et que vous souhaitez regarder la série, quelques spoilers peuvent se cacher dans cet article. Vous êtes prévenus !
Pour cette seconde couture, c’est un épisode de la saison 2 qui a été ma source d’inspiration. La seconde saison se passe en partie à Dallas, où Sookie, Bill et Eric se rendent pour tenter de tirer Godric, le vampire shérif de la zone, des griffes de la Fellowship of the Sun, une organisation religieuse anti-vampires. Dans cette saison, j’ai craqué pour plusieurs tenues (dont la robe imprimée bandana que Sookie porte dans l’un des premiers épisodes), mais celle qui nous intéresse aujourd’hui est tirée de l’épisode 9, intitulé I will rise up. Dans une scène très émouvante entre Godric et Sookie, cette dernière arbore une robe en vichy rouge et blanc, avec un joli corsage et des petites bretelles.
Plusieurs éléments ont attiré mon attention dans cette robe : déjà, je raffole du vichy, c’est un motif que j’aime beaucoup. La coupe de la robe étant plutôt légère et estivale, et essayant d’étoffer ma garde-robe pour les jours chauds, ce projet me paraissait parfait. J’ai trouvé à la Mercerie Mimosa le tissu idéal pour ce projet, un très beau vichy ultra léger et souple, rouge et rose pâle, un combo sur lequel j’ai craqué.
Pour ce qui est du patron, j’ai décidé de repartir sur le même que pour ma première robe, à savoir la Norma Dress : je vous rassure, je n’ai pas prévu de faire TOUTES les robes de ce projet avec ce même patron, mais pour le coup, je trouvais qu’il s’y prêtait bien, notamment pour le corsage. J’avais tellement aimé le résultat de la première robe que je n’ai pas hésité longtemps avant de repartir là-dessus. Sa construction est parfaite pour la robe de Sookie : corsage à fronces, un pan sous la poitrine et une jupe avec un peu de volume.
Comme pour la première robe, la réalisation a été simple et assez rapide. La partie la plus longue a été de découper toutes les pièces, assez nombreuses, du corsage, mais j’ai une fois de plus décidée de faire une jupe avec des fronces, surtout que j’avais beaucoup de tissus : donc malgré le fait qu’il était un peu transparent, avec les fronces il y a beaucoup de volume et on ne voit rien à travers. Comme je savais ce que je faisais, j’ai été plus rapide et moins hésitante.
La seule différence notable par rapport à ma première version est que j’ai décidé de faire une jupe très longue, qui m’arrive aux chevilles. J’ai toujours préféré les robes assez longues (mi-mollets en général), et j’ai fait encore plus long cette fois. Pas forcément pour coller à la robe de Sookie qui est plutôt courte, mais parce que je trouvais que le côté fluide du tissu fonctionnait très bien avec une robe estivale.
Au final, je suis ultra fan de cette robe. J’adore le patron, que je trouve très flatteur, le motif est trop cool, les couleurs superbes, et elle correspond vraiment à ce que j’avais en tête. Je l’ai déjà portée plusieurs fois depuis que je l’ai finie : je ne m’en lasse pas du tout. Ce sera sans aucun doute la robe de mon été !
Et voilà, c’est tout pour aujourd’hui. J’espère que cet article vous plait, n’hésitez pas à me laisser un petit commentaire avec votre retour, je vous réponds toujours avec plaisir. On se retrouve rapidement pour un nouvel article, en attendant comme toujours prenez soin de vous ! 🙂
La Tricomtoise